Le lendemain matin
Lorsque j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir, je restai figée sur place. Mais pourquoi Océan était-il de retour aussi tôt ? Des pas avançaient dans ma direction, alors je ne bougeai pas.
- Oh Désirée ! Je suis désolé. J’aurais pu au moins prendre le temps de te mettre une couverture. Je dois avoir trop bu. En fait, je suis un peu mêlé je crois.
Océan sourit, un peu mal à l’aise. Il s’avança vers moi, me pris par-dessus son épaule et me descendit à la chambre. Dans les draps de satin, il me coucha et m’observa.
- Tu es désirable !
Océan approcha ses lèvres de les miennes et il y posa un tendre baiser. Son souffle chaud descendit sur mon cou et remonta jusqu’à l’arrière de mon oreille, près de la nuque. OMG ! Cette sensation est presqu’aussi délicieuse que l’orgasme en lui-même ! Je me mordis la lèvre inférieure, pendant qu’il tenait mon cou d’une main et caressait de l’autre mes seins.
- Je suis prêt à assouvir tous tes désirs pour ainsi me faire pardonner… Laisse-moi te savourer pour te prouver ma sincérité.
Il me retourna soudainement et monta mon bassin, en prenant soin de mettre des oreillers sous le bas de mon ventre. Océan détacha son jeans, puis sortit son sexe de son boxer. Il le frotta doucement sur ma fente et il lâcha un son d’excitation. Une chance que la fraîcheur des draps modérât ma tempérance ! Il se pencha vers le fruit défendu et le savoura langoureusement. Je mordis dans l’oreiller, pour étouffer mes cris. Jamais Océan ne m’avait léché à cet endroit. Il pressait mes fesses avec ses mains, pendant qu’il faisait de petits ronds avec sa langue sur mon anus. Lorsqu’il l’inséra à l’intérieur, en écartant bien mes fesses, je restai surprise par cette nouvelle sensation. Océan laissa couler un peu de salive sur le fruit et il y inséra le bout de son doigt en faisant de petit vas et viens. Il retira son doigt, puis il se releva. Il profita de sa vue durant un instant, puis il inséra le bout de son pénis dans ma chatte mouillée.
Océan lâcha un gémissement, au moment où il entra son gland en moi. Il ne me pénétra pas profondément. Il cherchait plutôt à satisfaire mon point G – à mon grand bonheur. Il faisait de léger mouvement avec son bassin, en me tenant par les hanches.
Lorsqu’il essaya d’insérer son pouce à l’intérieur de mes fesses, immédiatement je jouis. Il me pénétra alors jusqu’au fond, et je sentis sa jouissance submerger en moi.
- J’espère que tu m’as pardonné maintenant, me dit-il en me donnant une petite fessée.
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